CR de la réunion du 18 septembre 2019 au CEMES


Présents : Christian Pertel, Michel Dupieux Loïc Drigo, Didier Ginibrière, Lahcen Farhi, Christian Lemaire, Stéphane Martin, Jean-Louis Druilhe, Arnauld Biganzoli, Thierry Ravel.
Excusés : Patrick Arrufat, Didier Laurent-Burguière, Rémi Jelinek, Jérémie Salles, Christian Jarnot.

Ordre du jour 1 : Compte rendu du CoPil
Ordre du jour 2 : Formations 2019
– CEM
– STM32
– Zynq 7000
– RPi/Python
– Séminaire PyMoDaq
– Séminaire IoT

Ordre du jour 3 : Prochaine rencontre régionale
Ordre du jour 4 : Questions diverses

Compte rendu du CoPil

Loïc Drigo nous fait part des derniers sujets traités par le CoPil et des préoccupations du moment. Une information essentielle concerne le faible niveau du budget engagé pour les actions de formation financées par le CoPil. Les membres du CoPil déplorent une utilisation de ce budget à hauteur de 23 % pour cette année 2019. Un bilan devrait être fait sur l’organisation des formations mais aussi sur les différents arbitrages qui pourraient être changés à l’avenir. Le pire scénario qui peut entamer la crédibilité du réseau est d’obtenir les crédits auprès des tutelles (MITI) sans pouvoir organiser les formations attendues. Plusieurs formations demandées ne seront pas planifiées faute d’organisation et de délais auprès de la MITI non respectés.
Des formations spécifiques peuvent ne pas être retenues par manque de candidats mais aussi parce que le sujet de la formation est considéré comme banal sans caractère innovant. Nous proposons ainsi au CoPil de ne pas retenir systématiquement le critère de la novation pour financer une formation. Il ne faut pas perdre de vue que les besoins des électroniciens sont de maintenir leurs niveaux de connaissance dans des domaines qui font partie du cœur de leurs métiers. Nous comprenons que l’argument des formations à caractère innovant et transversal soit un facteur déterminant mais la MITI doit aussi accepter que des formations pour des besoins récurrents puissent être organisées.
Une recommandation pour les réseaux régionaux dans la planification des formations serait d’informer le CoPil très tôt dans l’élaboration des formations pour que les arbitrages soient sans surprise permettant d’éviter ainsi des annulations mal vécues. On peut citer comme exemple une formation qui a été annulée car plus de la moitié des agents intéressés étaient des agents qui n’appartenaient pas au CNRS.

Formations 2019

– CEM :
Plusieurs messages sur la liste de diffusion du réseau régional de quelques membres préinscrits et non retenus méritent une explication sur la chronologie pour s’inscrire et sur l’arbitrage appliqué pour retenir les candidats. Initialement 20 candidats étaient annoncés mais pour des raisons de fonctionnement, 16 participants ont été retenus et l’ordre d’inscription a été déterminant dans le choix des personnes retenues.
Il a été envoyé ensuite un mail à chaque candidat pour qu’ils confirment leur présence sachant qu’il y a une liste d’attente de 7 personnes. Lahcen a réussi à négocier avec Philippe Dunand pour que le nombre de participants soit de 20. On redoute la non-participation de personne inscrites et confirmées qui n’annonceraient pas leurs désistements liés à des impondérables de dernière minute.
Lahcen remercie David Murat et Sébastien Mortier de l’avoir aidé à monter cette formation.
– STM32 :
Le professeur Laurent Latorre du LIRMM est pressenti pour dispenser une formation STM32. Il n’y a pas de dates planifiées pour cette formation et Jérémie Salles n’a pas obtenu de réponses définitives pour cette formation initialement programmée la première semaine de novembre. Il faudra faire le point avec Jérémie Salles pour connaître les intentions des uns et des autres.
– Zynq 7000 :
Suite à la première formation Zynq 700 en 2018, La formation proposée par Stéphane Letourneur et Abderrahman Boujrad nécessite quelques échanges avec Christian Lemaire et Michel Dupieux pour définir son périmètre en fonction des besoins du réseau régional. Une des attentes au niveau du réseau régional serait une formation de type projet où serait associé le processeur couplé avec du VHDL.
– RPi/Python :
Les ateliers proposés par Arnauld ont permis de se familiariser avec du matériel prêté par Christophe Halgand. Cet atelier était ouvert à toutes les discussions et plus particulièrement aux problématiques des agents de leur laboratoire respectif. Cet atelier libre est une bonne solution pour initier des personnes souhaitant découvrir une technologie en bénéficiant des expériences techniques des autres participants.
– Séminaire PyMoDaq :
Plusieurs personnes inscrites n’ont pas assisté à ce séminaire programmé le mardi 17 septembre. Sébastien Weber a présenté une application graphique écrite en Python permettant de créer un instrument adapté à plusieurs besoins de mesures en laboratoire. L’interface logicielle PyMoDaq est open source et permet de créer sa propre interface pour piloter des instruments communicants et des cartes d’acquisition.
Plusieurs modules ont été développés pour gérer la plupart des communications pour lesquelles Sébastien a développé des drivers. Avec l’outil PyMoDaq, on produit une interface graphique permettant d’utiliser les DLL proposées par les fabricants de matériels.
– Séminaire IoT :
Plusieurs dates qui dépendent de la disponibilité des intervenants seront prochainement proposées. Samir Medjiah a été contacté pour nous faire part de la problématique des protocoles MQTT et plus particulièrement sur la nécessité d’un bus logiciel pour les objets connectés. Samir Medjiah a participé au MOOC objets connectés proposé par la plateforme FUN MOOC où des enseignants/chercheurs de plusieurs universités interviennent dans des formations qui couvrent tous les domaines de la science.
François Thiebolt a été contacté pour nous présenter le projet neOCampus qui est une zone expérimentale de l’université dans laquelle plusieurs capteurs sont déployés. Il nous fera part des éléments essentiels qui sont nécessaires pour la construction d’un serveur capables de collecter les données mais aussi des applications pour les consulter à distance et visualiser l’état des capteurs ou pour extraire une série temporelle de mesures.
Il nous présentera les principales autorisations qu’il faut obtenir auprès de l’administration système de nos laboratoires respectifs avec des recommandations essentielles pour la sécurité de ces réseaux d’objets connectés.
Les discussions en CPR ont permis d’isoler quelques priorités pour apporter des réponses aux personnes qui souhaiteraient une formation. Le séminaire devrait leur permettre d’isoler des compétences à acquérir impérativement pour construire un réseau d’électroniques connectées. Parmi les personnes intéressées, il est possible aussi que la motivation première soit l’utilisation de solutions clés en mains fournies par des industriels.
La priorité est l’affichage d’un programme détaillé par les deux principaux intervenants. Il sera communiqué à Etienne Gondet qui souhaiterait que ce séminaire soit proposé aux informaticiens des laboratoires de l’OMP.

Prochaine rencontre régionale

La prochaine rencontre régionale pourrait être programmée au mois d’avril. Il faut trouver un thème particulier fédérateur peut être aussi en relation avec la visite possible d’un site industriel ou de recherche. La visite du site Odeillo serait l’occasion de parler d’écoconception et des énergies renouvelables. Il faudra prendre contact avec Sébastien Mortier pour vérifier la faisabilité de cette proposition de visite du site Odeillo sachant qu’il faut 6 heures de transport. Les sources de financement sont le CoPil et les deux délégations DR13 et DR14. Pour cette destination, il faut programmer la rencontre régionale à partir d’avril.

Questions diverses

Arnauld rejoint le groupe COM du GTCom. La prochaine réunion du CPR sera programmée du 14 au 18 octobre. Il faut programmer l’envoi de sondages concernant les demandes de formations auprès de tous les membres du réseau régional.

rde-cpr-occitanie@services.cnrs.fr