CR 5 Octobre 2006


Réseau des électroniciens, comité de pilotage de Midi-Pyrénées

Compte rendu de la réunion du 5 octobre 2006, au CESR , à 10h

Présents : Jacques Coutelier, Christian Lemaire, Lahcen Fahri, Stéphane Martin, Christian Pertel, Jacques Salon, Jean-Louis Druilhe (secrétaire de séance).


OD1 : CR comité pilotage national
Didier LAURENT ne pourra pas participer à la prochaine réunion du comité de pilotage national. Il nous a fait part d’une livraison de matériel au Pic qui va pénaliser sa présence parmi les membres du comité national.

OD2 : Bilan questionnaire savoir faire (Christian Ganibal, Christian Pertel et Stéphane Martin)
Le tableau a été mis à jour avec les corrections apportées par quelques membres. Un bilan sera fait avec Christian Ganibal, Christian Pertel et Stéphane Martin.

OD3 : Prochaine rencontre
Christian Lemaire propose 2 dates pour la prochaine rencontre régionale au mois de mars 2007 ou durant la dernière quinzaine d’avril, hors vacances scolaires. Il avait été evoqué de faire participer la région Languedoc Roussillon avec comme lieu de rencontre ODEILLO. Cette solution paraît difficile à mettre en œuvre et elle sera possible que si nous anticipons cette organisation longtemps avant avec Laurence Neuville. Jacques Coutelier propose le site de Lannemezan, rattaché à l’OMP et spécialisé en sismologie. Christian Pertel rappelle qu’il faut essayer de conserver l’attractivité de nos rencontres avec si possible des visites à thèmes dans Midi-Pyrénées comme airbus ou la cité de l’espace. Stéphane Martin envisage une rencontre interrégionale organisée avec la délégation de Bordeaux avec laquelle nous avons des contacts privilégiés. Dans ce cadre, une visite à thème préparée, pourrait être le moyen d’attirer les autres délégations. Christian Lemaire propose que soit débattu pendant cette rencontre régionale, le thème du sans plomb avec des premières expériences vécues et les prochaines évolutions de ce secteur.

OD4 : Formations
La précédente formation PSoC par Philippe Larcher, interlocuteur technique de la Société Cypress pour cette technologie, a été très appréciée. Jacques Salon et Arnaud Biganzoli ont a disposition un kit leur permettant de vérifier les caractéristiques du produit avec une conception en cours. Il peut y avoir une contribution financière de la part de la MRCT en utilisant le canal habituel. Laurence Neuville déposerait une demande d’achat de kits de développement pour un montant de 1500€.
Christian Ganibal souhaiterait qu’une formation PSoC puisse être proposée à l’ensemble du réseau. Jacques Salon considère qu’une formation de 3 jours est un minimum. Christian Lemaire prévient que l’offre de Cypress pour cette technologie est importante et qu’il est préférable de bien définir ses objectifs. Il propose d’acheter, après négociation 3 kits complets avec émulateur pour un prix unitaire de 600€. Le mini-kit donné par Philippe Larcher au mois de juin coûte de 35€ à 65€ mais ne comprend pas d’afficheur.
Selon Jacques Salon, la solution réaliste tient compte d’un émulateur temps réel ICE-Cube et du kit complet avec affichage à 65€. Il nous rappelle les 3 orientations de cette famille de composants, une avec module USB intégré, une autre dédiée à l’analogique/numérique et la dernière permettant du filtrage par capacités commutées. La solution retenue consistera à acheter 3 kits complets avec 2 compilateurs C.
Christian Pertel nous informe des difficultés de paiements en fin d’exercice et demande s’il existe une solution pour que la somme allouée à cette opération puisse être reconduite. Jacques Coutelier fait remarquer qu’il faudrait bien définir nos besoins et obtenir des devis avant de soumettre cette demande. Pour cette raison Jacques Salon propose d’acheter 2 kits différents avec une base commune constituée par ICE-Cube et le kit CY3215-DK. La question de Lachen Fahri se pose : Qui gérera les kits et quels modèles devront être achetés ?
Christian Lemaire pense que les membres déjà initiés à cette technologie devront se réunir pour définir les besoins en kits. Ce sont les applications en cours qui doivent dicter nos choix. Il fait remarquer que des propositions de formation nécessitent plusieurs relances.
Il existe une situation paradoxale vécue par beaucoup d’électroniciens, c’est l’habilitation électrique qui fait défaut à beaucoup de membres du réseau. Il faudra envisager une demande de formation adressée à la délégation pour obtenir cette habilitation.
Formations honorées
– PIC, Simulink, CEM
– Formations programmées
– 7 et 8 novembre : EMC orientée instrumentation
Formations demandées
– Micro ARM 32 bits. Si la demande se limite à 2 personnes du LAAS, cette formation se fera en interne.
– VHDL
– CEM (limitée à 15 personnes),
– LabWindows CVI.
Formations envisagées
Christian Lemaire nous présente les actions de la délégation DR4 qui organise des séminaires sur des thèmes plébiscités par la communauté. Ce type d’organisation est lié à la taille critique des délégations pour organiser ces séminaires. Serait-il possible d’appliquer le même principe dans notre région ?
Stéphane Martin souhaiterait assister à une démonstration suivie d’une formation sur l’intégrité des signaux appliquée à ORCAD et Altium Designer. C’est une simulation post-routage qui va tenir compte de la géométrie de la conception.

Questions Diverses
Christian Lemaire demande comment sensibiliser les membres du réseau pour venir chercher de l’information. Christian Pertel nous fait part d’une nouvelle organisation des rencontres régionales. Un créneau de 2 heures serait consacré à la présentation de 3 thèmes avec une répartition homogène des participants qui changeraient d’atelier toutes les 40 minutes. Stéphane Martin estime que le réseau n’a pas pour vocation de mobiliser l’attention permanente de ses membres et il ne faut pas s’attendre à un engouement illimité. Il vaut mieux consacrer un peu d’énergie au recrutement de nouveaux membres pour continuer à faire vivre ce réseau. Lahcen Fahri propose qu’il y ait une réunion spécifique du comité de pilotage pour évoquer cet aspect du recrutement des vocations.
Jacques Coutelier rappelle qu’il n’y a aucune raison d’être défaitiste car le réseau de la DR14 est unanimement reconnu. La fonction d’un réseau n’est pas écrite dans les statuts de l’institution et elle correspond à une attente technique qui pourrait n’être que ponctuelle. Son action ne peut être que positive et ce sont les sujets ciblés, utiles à la communauté qui permettront de faire durer l’existence du réseau.